Le ping-pong, thérapie ludique contre la maladie de Parkinson
"Je m'entraîne parfois pendant 3 heures, librement, sans me rendre compte que je fatigue. C'est super", sourit cette retraitée de 69 ans. Depuis 2015, elle vit avec cette maladie neurodégénérative qui restreint sa capacité à bouger. Jouer au tennis de table diminue ses tremblements et rend ses mouvements moins douloureux, assure-t-elle. "Et le soir, je dors mieux", ajoute Mme Krippner par dessus le bruit des balles qui rebondissent. Depuis l'année dernière, Luci s'entraîne deux fois par semaine... Читать дальше...