Retrait de "l'atteinte sexuelle avec pénétration" : il ne fallait pas "prendre le risque de correctionnaliser les viols", reconnaît Marlène Schiappa
La secrétaire d'État à l'égalité femmes-hommes a justifié la marche arrière du gouvernement car "les professionnels de terrain de la protection de l'enfance n'étaient pas convaincus par cette mesure".