Assez !
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En septembre 2017, Christine Angot rejoignait l’équipe de On n’est pas couché. Depuis, la chroniqueuse n’a cessé d’être critiquée par téléspectateurs. Le Figaro est allé à sa rencontre et a publié son portrait dans le numéro daté du vendredi 4 mai. « Il y a des moments qui sont un peu difficiles parfois sur un plateau. On est dans une société violente, je ne pense pas que ce soit moi qui crée cette violence, vraiment. Il y a des contraintes très différentes, des préoccupations différentes », a-t-elle confié.
Elle est également revenue sur son clash avec Sandrine Rousseau, sur le plateau de Laurent Ruquier, qui avait entraîné les larmes de l’écrivaine : « Elle pleurait, bon d’accord, elle pleurait, mais je n’ai jamais été contre elle, bien au contraire. […] C’est sa phrase à propos des gens “formés pour recueillir la parole” qui m’a fait réagir. Je suis bien placée pour vous dire que, quand vous avez une difficulté, les gens qui sont là pour recueillir la parole sont sourds. »
C’est toutefois contre ses détracteurs qu’elle s’est montrée sévère : « Déjà, surtout, je ne suis pas une machine. J’essaie toujours de passer sur les côtés, je n’y vais jamais frontalement. Cela ne m’intéresse pas de blesser les gens. Je n’ai pas conscience des proportions que ça prend. […] [Il y a] une mauvaise foi à ne pas vouloir me comprendre. » De quoi remettre les points sur les « i ».