Nantes. Anti-blocus sur le campus : après la colère, l’inquiétude
« Nous sommes très démoralisés. » Marine est étudiante en troisième année de sociologie. Elle fait partie de ces 500 anti-blocus montés au front le mardi 3 avril, lors de l’assemblée générale, où devait se décider la suite à donner au mouvement de contestation de la loi d’Orientation et...