L’épouse d’Assange a exhorté ses partisans à poursuivre le combat (Vidéo)
L’épouse de Julian Assange et mère de deux enfants, Stella Morris, a qualifié le refus d’aujourd’hui d’un tribunal londonien d’extrader le fondateur de Wikileaks vers les États-Unis de « victoire pour Julian et victoire pour la justice », mais a souligné qu’il n’y aura pas de victoire complète jusqu’à ce qu’Assange rentre chez lui. Auparavant, […]
L’épouse d’Assange a exhorté ses partisans à poursuivre le combat (Vidéo)
L’épouse de Julian Assange et mère de deux enfants, Stella Morris, a qualifié le refus d’aujourd’hui d’un tribunal londonien d’extrader le fondateur de Wikileaks vers les États-Unis de « victoire pour Julian et victoire pour la justice », mais a souligné qu’il n’y aura pas de victoire complète jusqu’à ce qu’Assange rentre chez lui.
Auparavant, la juge de la Cour pénale centrale de Londres, Vanessa Baraitser, avait refusé d’extrader Assange vers les États-Unis en raison de craintes pour sa santé. La partie américaine a annoncé qu’elle déposait un appel, des audiences sur la libération sous caution d’Assange se tiendraient mercredi. Il est peu probable qu’il soit libéré, car il a déjà violé les conditions de la mise en liberté sous caution.
« J’espérais qu’il rentrerait chez lui aujourd’hui. Cela ne s’est pas produit. Mais ce jour arrive bientôt. Nous célébrerons son retour » , a déclaré Morris aux journalistes rassemblés devant le palais de justice.
« Aujourd’hui, c’est une victoire pour Julian, pour l’équité dans cette affaire. Nous sommes heureux que le tribunal ait reconnu la gravité et l’inhumanité de ce qui pourrait l’attendre aux États-Unis … Mais nous sommes très inquiets que la partie américaine ait décidé de faire appel » , a-t-elle ajouté.
Elle a appelé les partisans d’Assange à « crier plus fort et faire plus de pression jusqu’à ce qu’il soit libre ».
Morris a également une fois de plus appelé le président américain (la défense d’Assange a appelé à plusieurs reprises le président élu Joe Biden avec cet appel) à libérer Assange et à «rendre son père à ses fils».
Le rédacteur en chef de Wikileaks, Kristinn Hrafnsson, a également appelé la partie américaine à refuser de faire appel.
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