Un père et son fils suspectés de fournir des armes aux trafiquants de drogue nantais
« Comment on s’improvise vendeur d’armes », interroge le président du tribunal. « Je n’ai pas réfléchi », répond le prévenu. « C’est un hasard que ça tombe sur vous ? » « C’est parce que je suis Kosovar… Et que j’ai un nom. » « Qui vous demande ? » « Des gens de Nantes. Ils ont confiance en moi. ...