Six mois avec sursis requis contre le président de la Fédération française de tennis
Devant le tribunal correctionnel de Bastia, le parquet a requis six mois de prison avec sursis contre Bernard Giudicelli, président de la Fédération française de tennis, pour délit de favoritisme. Mis en cause dans une cascade d’autres affaires, peut-il rester à la tête d'une fédération chargée de missions d’intérêt public ?